Faire ses produits cosmétiques et d’entretien maison

Bienvenue dans le « Home Made » ou le DIY « Do It Yourself » (faites le vous-mêmes), bref le fait maison.

Cette tendance fait peur à beaucoup de gens ! Considérée comme chronophage par certains ou réservée aux adeptes d’une « secte » prônant la régression fatale de l’Humanité par d’autres, elle présente en réalité bon nombre d’avantages accessibles à tous.

Résumons ce que cette approche de la consommation peut nous apporter :

  • économie sur le plan financier
  • économie sur le plan temporel
  • économie sur l’impact environnemental
  • économie sur la mise en danger de notre santé

J’en rajoute ou cela peut déjà éveiller votre curiosité ?

Ce que je vous raconte n’est que la vérité. Je n’ai pas inventé les recettes que je vous donnerai au fur et à mesure de l’écriture de ce blog, je les ai juste adaptées, personnalisées à ma personne, aux membres de ma famille. Et oui, en plus on gagne en autonomie et en liberté de faire ce qu’il nous plaît vraiment. On ne « doit » plus forcément rentrer dans une case du consommateur qui s’adapte à ce qui existe sur le marché : on crée son marché, on est au centre de cette création et on demeure en harmonie avec ses choix.

Les sites de DIY sont légion. On trouve des milliers de recettes différentes et on doit donc faire un peu le tri mais le jeu en vaut la chandelle.

Je vous promets que si vous y mettez le doigt, le reste suivra. C’est addictif, plaisant et toute la famille participe car en plus des avantages pré-cités, citons celui de créer de superbes moments de partage et de convivialité.

Je vais créer une page dédiée à ces recettes et vous pourrez y piocher ce que vous voudrez mais n’oubliez jamais d’y ajouter votre petite touche personnelle : de l’adapter à votre personne, à vos goûts, à votre humeur du moment…

Et pour vous mettre le pied à l’étrier voici une première recette :

La lessive au savon de Marseille (simple, connue mais franchement au top de l’efficacité) :

il vous faut : 95 grammes de savon de Marseille (en pastille, râpé ou à râper vous mêmes : au choix), 2 litres d’eau et… c’est tout !

  • économie sur le plan financier (Faut-il vraiment vous faire le calcul ? en fonction du savon acheté râpé ou en bloc et de la taille de ce dernier, comptez environ 1 euro de marchandise… pour environ 20 à 30 lessives… qui dit mieux ?)
  • économie sur le plan temporel (réalisation environ 5 minutes à comparer avec le temps mis pour vous rendre au supermarché, aller dans le rayon… le retour à la maison etc… dépendant bien sûr des habitudes de chacun)
  • économie sur l’impact environnemental (savon 100% biodégradable, pas d’emballage ni de grosses bouteilles en plastique)
  • économie sur la mise en danger de notre santé (1 seul ingrédient ! à comparer avec les listes à la Prévert des lessives du commerce. On se met sur la peau des ingrédients franchement pas nets…)

Pour finir avec cette lessive, vous pouvez rajouter en fonction de vos goûts quelques gouttes d’huile essentielle BIO de votre choix pour apporter un léger parfum. Mais cela reste facultatif.

En effet cette lessive a pour particularité de donner un linge qui ne sent rien ou si en fait : le linge propre (état de fait oublié depuis longtemps tellement le marketing olfactif nous a « lessivé » le cerveau) et on croirait (à force d’être habitué à tous ces parfums surpuissants nous faisant passer pour de « bombes odorantes ») que le linge n’est pas propre… ah bon ? je ne sens pas la vanille ou la coco ou encore les îles de là-bas très très loin : c’est donc que je ne suis pas propre ? Et non en fait : je suis super propre mais les gens le remarquent moins. C’est vrai, depuis que je n’utilise que cette lessive maison, à chaque fois que quelqu’un vient chez moi et que cette personne utilise une lessive « classique » : je suis importuné, c’est pire qu’un ado sortant en boîte de nuit et aspergé version « j’en ai bu aussi… ». J’arrive même à savoir si une personne était dans la pièce à un moment de la journée. Alors si vous ne souhaitez pas sentir le baril de lessive partout… faites chauffer la casserole !

Que des avantages ! Promis, essayez et vous vous sentirez mieux !

Bricolons en sécurité

Les journées raccourcissent et en regardant par la fenêtre bien à l’abri des températures qui chutent on peut parfois ressentir l’envie de décorer une pièce, modifier une peinture, changer un papier peint…

Les émissions de décoration sont devenues une véritable légion et les conseils pullulent ! Il est vrai que décorer est un plaisir accessible à tous pour peu que l’on ai un peu de temps à y consacrer.

Cependant, il ne faut pas oublier que cette noble activité ne doit pas se faire au détriment ni de notre santé, ni de notre environnement ! Quelques petites idées peuvent ainsi nous faire allier, de façon aisée, plaisir et éco-responsabilité.

Tout d’abord : bien choisir ses matériaux :

-le papier peint : le choisir d’origine écologique vous assure qu’il est issu de forêts entretenues de façon durable, certifié FSC (Forest Stewardship Council : littéralement provenant de forêts gérées de manière durable), emballage biodégradable et encre sans solvants ni COV (Composé Organique Volatile).

-la peinture : s’assurer qu’elle possède bien le label écologique européen (sous forme de fleurs) vous garantit une sécurité indispensable pour votre santé : peu de rejet de COV et lavable à l’eau. Elles sont de qualité équivalente aux autres peintures et sont de plus en plus répandues. De plus il est bon de savoir qu’il existe une échelle de rejet de COV sur les pots de peinture (échelle comparable à celle indiquant les consommations électriques pour les appareils ménagers), préférez donc une valeur A et A+ !!

Pensez également à apporter vos restes de peinture et de colle en déchetterie pour un recyclage plus efficace.

Enfin quelques règles de bon sens : lors de vos travaux pensez à aérer la pièce dans laquelle vous travaillez, portez masque et gants… Sachant que pour respirer un air sain, il faut ventiler la pièce pendant plusieurs jours pour évacuer un maximum de COV !!

Dernier conseil : lors de l’achat d’un meuble (surtout ceux en aggloméré IKRAKRA, ALIGNETOI etc…) ouvrez les emballages longtemps à l’avance, montez votre meuble et aérez la pièce où il se trouve plusieurs heures par jour et s’il s’agit d’un meuble destiné à la chambre, ne l’installez pas immédiatement surtout pour une chambre d’enfant ou de personne ayant une fragilité respiratoire .

L’ensemble de ces meubles comportent des vernis et des colles qui libèrent énormément de COV (soupçonnés très fortement de favoriser cancer et autres maladies respiratoires) pendant de longues périodes (souvent des années).

Alors bricolons de bon cœur mais n’oubliez pas qu’une maison saine est d’abord une maison qui respire !

Et surtout ouvrez vos fenêtres !!!

Le recyclage des déchets plastiques : illusion meurtrière…

On pourrait se croire dans un monde idéal : on consomme un produit et les déchets engendrés sont recyclés. Après tout, nous sommes dans un pays ultra développé, une puissance mondiale, un modèle à suivre… La réalité est que nous nous débarrassons de nos déchets dans les pays les plus pauvres qui faute d’autres ressources acceptent nos poisons et condamnent ainsi leurs populations locales !

Je vous laisse lire cet article édifiant mêlant pollution, crime contre l’Humanité (on provoque la mort de combien de gens en fermant les yeux ?), et amour abject de l’argent.

Il y a des choses qui tueront certainement plus que la Covid… ce scandale des déchets en fait partie, mais loin des yeux…

Serions nous tous devenus myopes ?

Pour nettoyer sain, allez au plus simple !

Qu’il est agréable d’avoir une maison propre et saine….

À bien y réfléchir, ces deux notions (propre et sain) sont rarement associées si on se laisse bercer par les « fabuleux produits miracles » vendus en supermarché et vantés dans de superbes publicités « attrape c….. ».

D’un côté on ne peut nier l’efficacité de certains produits qui « lavent plus blanc que blanc », qui nettoient tout seuls, ils sont sans frotter, sans problèmes et sans équivalents….on croit rêver !!

Regardez d’un peu plus près leur composition  « miracle » et vous comprendrez vite fait que l’on ignore pour la plupart d’entre nous de quoi ils sont faits…Des noms de molécules chimiques qui dépassent bien souvent les six syllabes voire les dix…on est en droit de se méfier, ou plutôt on DOIT se méfier !! Car écrit en petit, en très petit : il est indiqué de se protéger les mains, les yeux, la peau et tout le reste en fait…, d’aérer la pièce pendant et après utilisation, de ne pas mettre en contact avec des surfaces fragiles….bref il y a du danger supposé et quand on y pense : le jeu en vaut-il la chandelle ?

On joue avec notre santé depuis trop longtemps.

La prise de conscience est amorcée et on revient de plus en plus aux méthodes de « grand-mère », les choses simples qui ont toujours fonctionné, et qui fonctionnent encore.

On nous les fait oublier car ces dernières ne coûtent bien souvent pas cher, voire rien… et donc ne rapportent pas à nos chers industriels chimistes….

Aujourd’hui je vous propose une méthode simple, efficace, zéro produit chimique et accessible (et je ne fais pas de publicité mensongère!!) : le nettoyage à la vapeur d’eau.

Tout est dit : vous avez besoin d’un nettoyeur vapeur qui de nos jours est devenu accessible (entre 40 et 150 euros en fonction des marques et des options), durable et polyvalent…plus d’un robinet pour y puiser un peu d’eau (oui quand même!!). ET C’EST TOUT !

Vous pourrez nettoyer les sols qui seront brillants et désinfectés (les bactéries sont tuées par la vapeur !)Et bébé pourra faire « le ver de terre » en toute sécurité. Les WC seront détartrés et assainis, les miroirs, tissus, canapés retrouvent de l’éclat….

En détruisant acariens, bactéries et champignons, non seulement on enlève les odeurs désagréables mais on protège sa santé !

Et quitte à contrarier les pro-javel et autres produits miracles : l’efficacité est au rendez-vous et on ne rejette aucun produit dans la nature, ni dans ses canalisations qui nous vous le rappelons finissent bien par arriver quelque part…Dans ma commune, après filtrage dans la station d’épuration, l’eau est rejetée…dans la rivière. Et même si la plupart des molécules sont filtrées, toutes ne sont pas retenues, une partie rejoint le milieu naturel et finit par affecter notre environnement, donc nous affecter (l’eau que nous buvons par exemple…).

Alors maintenant que vous savez, n’hésitez plus ! Et pour finir : je ne possède aucune action dans une entreprise de nettoyeur vapeur !! Ce n’est qu’un conseil d’ami !

L’utilisation des produits phytosanitaires pour toiture et façade

(démoussage, produit hydrofuge…)

Entretenir sa toiture est nécessaire à partir du moment où l’invasion des mousses et autres lichens pourrait compromettre l’étanchéité de la toiture (surtout sur de vieilles tuiles). Or, la plupart du temps, cette opération est réalisée dans un but esthétique donc non vital et de surcroît coûteux.

Nous sommes démarchés très régulièrement par des entreprises plus ou moins sérieuses nous promettant l’utilisation de produits avec un résultat impeccable et, bien sûr, totalement inoffensifs pour l’environnement.

C’est ici que je souhaite vous alerter, car les produits utilisés font partie de la famille des BIOCIDES qui littéralement signifie « tueur de vie ». Ils sont systémiques, c’est-à-dire qu’ils n’agissent pas uniquement sur une sorte de végétal mais ont une action forte sur les autres organismes vivants.

  • Il n’y a aucun produit de démoussage ou hydrofuge totalement inoffensif pour notre environnement
  • Les produits dits « BIO » actifs sur les mousses le seront également dans la nature
  • La supposée biodégradabilité vendue par ces entreprises est un leurre. On nous dit souvent biodégradable à plus de 90%, c’est vrai mais pour la seule raison qu’ils sont constitués à plus de 90% d’eau… ce sont les 10% restant qui sont nocifs et demeurent « efficaces » une fois relâchés dans la nature

Les préconisations :

  • Privilégier l’utilisation de nettoyeur à eau BASSE PRESSION (pour préserver vos tuiles) et effectuer un grattage manuel : seule méthode réellement respectueuse de notre environnement (certains artisans facturent cette technique moins chère que l’utilisation de produits)
  • Ne pas utiliser (ou faire utiliser) de produits portant les pictogrammes suivants :
  • Éviter absolument l’utilisation de produits contenant javel et chlore
  • C’est surtout « l’effet cocktail » de toutes ces molécules chimiques relâchées dans notre environnement qui est délétère
  • En cas d’utilisation de produits nocifs pour l’environnement pour le nettoyage de toitures et façades, le débranchement des gouttières doit être effectué et les eaux récupérées pour être traitées. Cette opération pouvant être nécessaire plusieurs semaines à plusieurs mois en fonction des produits utilisés
  • Le principe de précaution doit prévaloir, nous ne devons pas attendre d’être dans une impasse écologique pour agir et donc ne pas utiliser ces produits

Aujourd’hui nous avons le pouvoir de choisir et d’agir concrètement dans la préservation de notre environnement.  

Laissons à nos enfants et générations futures un cadre de vie agréable, des rivières vivantes, des nappes phréatiques préservées : c’est localement notre devoir.

La rentrée scolaire

Aujourd’hui mon fils rentre au collège. Je ne vous raconte pas ma vie mais qui dit rentrée scolaire dit « rentrée des déchets innombrables et plein de jolis plastiques qui ne se recyclent pas ». Le titre est long mais tellement vrai…

Pour illustrer mon propos et ne pas être trop long, je vais prendre l’exemple du stylo à plume (d’où l’évocation du collège) et surtout de ses superbes cartouches en plastique qui se compteront par centaines (ou plus si votre ado aime écrire) dans votre poubelle.

Et ici encore on peut simplement éliminer ces centaines de cartouches sans effort, sans modifier quoique ce soit au but du stylo et de ses cartouches : écrire.

La solution est simple : la pompe pour stylo à plume qui transforme N’IMPORTE QUEL STYLO À PLUME en un stylo RECHARGEABLE.

Pompe pour stylo à plume

Vous y adjoignez un flacon d’encre comme celui-ci :

Exemple de flacon d’encre…

Les marques sont nombreuses et je laisse à la discrétion de chacun de choisir sa préférée mais pour ma part celui-ci est fait en France, est de super qualité et est effaçable alors….

Je résume :

  • On obtient le même résultat : écrire, effacer etc…
  • C’est TRÈS économique
  • C’est TRÈS écologique
  • C’est durable : la pompe peut durer des années, le flacon est en verre : le seul matériau recyclable à l’infini bref… comme dirait l’autre : What else ?

Je finirai en disant que ce choix (car oui c’est un choix) est valable pour toutes les fournitures, il suffit juste de se poser la question : y a t’il une alternative ? et la réponse est OUI, à chaque fois !

Choisir son moteur de recherche

Parmi les gestes que nous pouvons faire pour notre environnement et qui ne changent STRICTEMENT rien à notre manière de vivre en voici un : changer son moteur de recherche habituel pour un autre plus « responsable », plus « local » et moins « espion de la CIA ou du KGB » qui sait tout de vous et même si vous avez mal digéré hier soir (bon là j’exagère un peu… quoique).

Nous avons, dans la grande majorité, dévolu cette tâche à notre « ami » (c’est un terme exact, car il nous connaît vraiment bien) Google, si nous ne devions en citer qu’un.

Alors je vous propose de passer chez LILO.

  • C’est simple
  • C’est gratuit
  • C’est français
  • On peut ajouter la barre de recherche Lilo à tous les moteurs de recherche ou bien le déterminer comme moteur par défaut
  • Il protège vos données et historiques de recherches
  • Efficace (je l’utilise depuis des années et franchement : au top)
  • Cerise sur le pompon du gâteau : à chaque recherche des fonds sont reversés à une association de votre choix… Et vous pouvez le modifier à tout moment.

Mais que faites vous encore ici à lire cet article ? allez ouste on va mettre Lilo comme moteur :

https://www.lilo.org/

Faisons dans les copeaux !

Désolé pour ce franc-parler et cette façon de m’exprimer… mais c’est comme cela que je fonctionne et que j’écris : direct, un peu « hard » parfois mais je pense ce que je dis et dis ce que je pense…J’écris donc parfois comme je parle et cela et bien… je ne peux le changer au risque d’en choquer certains !

Revenons à nos moutons ou plutôt à nos copeaux. Cela commence à frémir aux oreilles du grand public, c’est déjà pratiqué depuis des décennies (ou depuis toujours ?), par des adeptes de plus en plus nombreux, des sociétés se lancent dans la commercialisation de cette « révolution », je veux parler des toilettes sèches !

Hourra !!! Enfin pas encore car cela va lentement… Il faut changer les mentalités et cela prend du temps… Ah bon ? ce n’est pas le lobby de l’eau qui traîne ? Ah bon, c’est si compliqué ? Ah bon, c’est vraiment tout nouveau nouveau ?

Rappelons l’histoire passionnante du petit coin humain :

  • Au tout début : tu chies dans les fourrés et tu t’essuies avec ce que tu trouves (nooonnn pas le buisson de ronces là…)
  • Vint le progrès lié à l’évolution de l’intelligence humaine : tu fais un trou et tu rebouches. Pour le nettoyage on privilégiera les feuilles, si t uas choisi une pinède et bien…tu n’avais qu’à mieux regarder avant…)
  • Révolution douce : la cabane au fond du jardin et les journaux de la veille mais tout le monde n’a pas de jardin et encore moins un journal à disposition (mais déjà on entre dans un esprit très avant-gardiste car c’est un peu l’ancêtre des toilettes sèches…)
  • Là on rentre dans le modernisme : le pot de chambre, facile, rapide, un peu odorant tout de même mais on vidange le matin et c’est bon.
  • Puis vint le drame… »homo cretinus » se dit  » soyons moderne : chions dans de l’eau ! « , mieux encore « chions dans de l’eau potable !  » mais oui voilà la solution !

Je ne remets pas en cause la volonté à l’époque de vouloir « assainir » les rues (éviter de jeter ses besoins dans la rue en ville faute de jardin par exemple), ni que cette méthode considérée comme pratique et révolutionnaire alors, permit de rendre les villes moins odorantes et de lutter contre les invasions de rats et autres nuisibles… D’accord, ce fut utile, d’accord cela est vraiment pratique mais le monde va vite, très vite et le constat aujourd’hui est le suivant :

Alors il est temps de se remettre en question et de se dire que chaque jour, lorsque nous faisons nos besoins, nous gaspillons lamentablement entre 6 et 10 litres d’eau potable à chaque fois… Une eau captée, traitée et distribuée par des opérateurs qui se « gavent » et qui n’ont aucun intérêt à ce que l’on aille dans des copeaux :

  • Non, cela ne sent pas mauvais,
  • Oui, cela coûte moins cher (si nous le faisions, en moyenne nous économiserions 30% sur notre facture d’eau à l’année…)
  • Oui, c’est utile car en plus, nous sommes fournis en engrais (après compostage) qui est au top pour les plantes, l’urine aussi (formidable source d’azote qui est de la super vitamine pour végétaux),
  • Et cerise sur le « popot » : nous créons des emplois (collecte, compostage, distribution…).

Franchement, il est temps que les institutions montrent l’exemple, que les constructeurs immobiliers proposent cette alternative et que chacun d’entre nous imagine dans sa tête, son petit derrière en train de remplir une bouteille d’eau de source car c’est ce que nous faisons tous en trouvant cela normal !!!

Alors toujours envie d’appuyer sur la chasse ?

Allez hop, je me lance…

Il faut bien y aller, alors voici un premier article et comme je ne suis ni écrivain, ni auteur : je vais un peu balbutier mais je compte sur votre indulgence…

Pourquoi avoir appelé ce site « Transition pour tous – Votre conseiller en développement durable » ?

Transition d’abord : qu’entendons-nous par transition ? C’est le passage d’un état à un autre ; d’une situation actuelle à une nouvelle situation. Il n’est pas question de « transit » dans le sens « besoin physiologique » du terme (quoiqu’en permaculture le lien peut se faire…) mais plutôt de cheminement.

Notre situation actuelle (économique, environnementale, sociale) montre ses limites et nous sommes de plus en plus nombreux à nous remettre en question… Que faire alors ? Que puis-je changer pour me trouver ? Pour aller mieux ? Pour me sentir utile ou à ma place ?

C’est l’essence même de cet humble journal : dire haut et fort ou plutôt écrire avec ma plus profonde certitude que nous avons TOUS un rôle à jouer, nous sommes TOUS concernés, nous pouvons TOUS agir à si petite échelle soit-elle… Chacun à sa place, chacun dans un domaine qui lui ressemble, qui lui parle.

Pourquoi « Votre conseiller développement durable » alors ?

Conseiller car depuis de nombreuses années, je m’investis dans cette notion d’écologie au quotidien (je reviendrai sur ce terme que je n’apprécie pas spécialement dans un autre article si vous me le permettez) que ce soit dans mon travail : chef d’entreprise dans la restauration, je m’applique à réduire mon impact environnemental à chaque domaine de fonctionnement de mon entreprise (je vous donnerai également moult détails assez vite), dans la vie de tous les jours avec mes enfants, mon voisinage : souhaitant réduire autant que faire se peut mon « impact » sur notre planète. J’essaye toutes les astuces possibles, tous les trucs les plus fous et très, très souvent : ça marche !!! J’oeuvre et j’interviens également pour le compte de l’association environnementale que j’ai créée avec deux amis en 2017, ATA Dannemois, et qui compte aujourd’hui plus de deux cents adhérents dans la région.

Alors je parle, je parle et je conseille et c’est comme si j’avais inventé l’eau tiède !!! Le pire (ou le mieux), c’est que les gens essayent à leur tour et… cela fonctionne pour eux aussi !!!

Nous continuons à vivre en changeant la façon de faire mais sans changer le fond : vivre !

Génial non ? Nous pouvons continuer tout ce qui nous plaît mais en plus (et personnellement je dirai surtout) en préservant notre planète pour permettre à nos enfants de pouvoir vivre aussi ! Magique ? Non, juste du bon sens et promis : « ça le fait » !

Voici donc l’objectif de ce site/journal : partager mes idées, mes astuces qui sont testées, validées et approuvées par votre humble serviteur (et bon nombre de voisins, amis, inconnus…) :

  • Dans des domaines variés : jardinage (permaculture par exemple), achats, produits ménagers et cosmétiques maison, éco-conduite, enfants, bricolage,
  • Pour tous les publics : particuliers (vous et moi), pour les entreprises (gestion des achats, des équipes…), les collectivités (mairie, communauté de communes, écoles) : il y a vraiment de quoi faire et vous savez quoi ? Nous pouvons TOUS y participer !

Donc j’espère vous voir souvent ici car j’ai beaucoup de choses à communiquer et les pensées vertes fusent de toutes parts… Merci de m’avoir lu jusque-là, cela veut dire que nous avons de bonnes chances de continuer ce bout de chemin ensemble non ?